La rivalité entre le fou et le cavalier est bien connue chez les joueurs d'échecs. Certains Grands Maîtres ont un avis très tranché sur le sujet. Prenons le cas d'Edouard Goufeld, GMI soviétique grand spécialiste de la défense Est-Indienne. Pour lui la question ne se pose même pas. Le fou est plus fort, un point c'est tout. En Russe un fou se dit "slone", ce qui se traduit par "éléphant", Edouard Goufeld aimait dire : "allez donc voir dans un zoo qui est plus fort entre un cheval et un éléphant" !
Dans son livre "1000 épisodes de la vie d'un Grand Maître" (livre non traduit du Russe) Edouard Goufeld raconte l'anecdote suivante ;
En 1992, lors des olympiades d'échecs à Manille aux Philippines, un inconnu appela dans la chambre d'hôtel du joueur Malaisien Mok Tze Meng pour lui dicter par téléphone une étude d'échecs, avec comme mission de la donner comme cadeau à Edouard Goufeld. Cette étude est à la gloire du fou.
En 1992, lors des olympiades d'échecs à Manille aux Philippines, un inconnu appela dans la chambre d'hôtel du joueur Malaisien Mok Tze Meng pour lui dicter par téléphone une étude d'échecs, avec comme mission de la donner comme cadeau à Edouard Goufeld. Cette étude est à la gloire du fou.